Top 10 des tweets les plus drôles sur le vote du Brexit

0
2672
top 10 tweets rejet accord brexit

En mai 1990, Alain Chamfort chantait : “Souris puisque c’est grave”. Près de 30 ans plus tard, Twitter a bien retenu la chanson et lors d’événements exceptionnels, les internautes prennent souvent leur plus belle plume numérique pour faire rire internet avec des formules drôles. Le rejet de l’accord sur le Brexit mardi 15 janvier par les députés britanniques n’y a donc pas échappé et la Twittosphère s’est déchaînée. Voici notre petit florilège des meilleurs tweets.
Jeu de mots

“Breaking” reprenant les codes du journalisme pour annoncer une alerte info. Ici, on peut traduire par “Le Brexit : cassé”.
(Pas) seule au monde

Traduction : “Theresa May et les Conservateurs qui la soutiennent encore”. Car la Première ministre s’est sentie bien seule, puisque deux tiers des députés de son parti ont décidé de voter contre l’accord négocié.
Une analyse qui résume tout

Traduction : “Prêt pour le Brexit”. Mais la question est : le Royaume-Uni souhaite-t-il vraiment sortir de l’Union européenne ?
Métaphore

Larry the Cat est le compte non officiel du chat du 10 Downing street, cabinet de la Première ministre britannique. Dans cette petite séquence vidéo, le chat est censé représenté Theresa May tandis que le poisson symbolise un Parlement qui voterait pour l’accord.
Référence culturelle

“Le Brexit c’est comme quand Geri Halliwell avait sur-estimé sa capacité à se lancer dans une carrière solo et quitté les Spice Girls”. L’union fait la force, pourrait-on résumer.
Méthode Coué

Tout va bien…
Comparaison royale… salace

Il n’y a pas de raison que la reine d’Angleterre ne se mêle pas de ce qui s’est passé mercredi 16 janvier. Enfin, plutôt le compte parodique d’Elisabeth Windsor. “Texto du Prince Harry : “Je suis désolé pour Mme May. Moi aussi, j’ai perdu lors de mon accord de retrait, c’est pourquoi je vais bientôt être papa! MDR! Je plaisante!”. 
Caprice

Attention à ce que l’on souhaite…
Ça ne tourne pas rond

C’est ce que l’on appelle se mettre des bâtons dans les roues…
Le malheur des uns…

L’ancien Premier ministre David Cameron, par qui tout est arrivé, semble bien loin des problèmes que le pays traverse: “Alors comment ça se passe?”, demanderait-il.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici